Ok le Québec...
Il est grand temps de laisser la crise d'adolecence en arrière.
À quoi cela sert de demander pardon "pour tout ce mal" dans les mots du cardinal Ouellet, quand la société québecoise en général ne semble pas être assez mature encore pour accepter et pardonner?
Bien sur, le fait qu'une personne que je côtoie à tous les jours pense exactement comme Patrick Lagacé de LaPresse me brouille peut-être les idées un peu. Peut-être y a-t-il moins qui pensent ainsi que j'en ai l'impression?
Patrick Lagacé écrit:
Je vois le problème ici. C'est un problème d'idéologie. Vous ne voulez pas suivre l'enseignement de l'Église. Vous trouvez que l'Église "casse votre fun". Un peu comme le parent qui empêche l'adolescent de tout faire ce qu'il veut. Et l'adolescent réagit en traitant le parent de tyrant.
Mais un jour l'adolescent doit grandir. Il doit reconnaître que si le parent n'était pas parfait, et que s'il a fait des erreurs, il n'est pas vrai qu'il est un tyrant. On peut grandir et avoir une opinion différent de ses parents, mais on reconnait que ses parents ne sont pas des gens horribles pour autant.
Je vais avouer que peut-être l'Église du Québec a été un peu contrôleuse. Je n'en sais rien, je n'étais pas là, et l'histoire du restant du Canada (ainsi que le restant du monde) avec l'Église est bien différente de celle du Québec. L'Église n'avait certainement pas le même "pouvoir" ailleurs. Permettez-moi de l'appeller autrement. Je dirais plutôt le même niveau d'infiltration dans la culture. Le Québec avait jadis une culture très catholique. Ce n'est pas une chose horrible. Aussi impossible que cela puisse sembler aujourd'hui, la plupart des gens avaient une foi réelle, et cela influençait beaucoup la culture. Il y en a d'autres qui ont ou qui ont eu une culture catholique aussi, les polonais par exemple le français, les espagnols et les italiens.
Aujourd'hui vous avez pitié des vos pauvres ancêtres obligés de participer à mille et une sacrifices par crainte de damnation. Je crois que si vous iriez en arrière quelques centaines d'années, vous trouverez peut-être plutôt que leur foi était un peu plus profonde que cela. Vous n'avez pas à retourner quelques siècles en arrière... aller plutôt côtoyer les jeunes de Marie-Jeunesse ou Défi-jeunesse ou les familles de la Famille des Puits de Lumière ou encore Myriam Bethéhem quelques mois pour voir. Vous ne connaissez rien de la foi et c'est pour cela que vous ne voyez L'Église que comme une insitution qui veut tout contrôler. En fait, quand vous parlez de l'Église vous ne parlez même pas de la foi. Vous ne parlez que de l'insitution. Pour vous, l'Église n'est qu'une institution. Qui a peut-être inventé une religion pour pouvoir contrôler tout le monde.
Bizzare de façon de contrôler tout le monde ça, que de proner une moralité sexuelle, de défendre les pauvres, les innocents (bébés avortés etc), le mariage et la famille. D'habitude, ceux qui veulent le pouvoir pour le pouvoir ont plutôt tendance à assassiner, voler, piller, violer et enlever les droits fondamentaux des êtres humains.
Ah mais là, peut-être qu'en voyant que nous avions une bonne chose, nous avons trop voulu que tout le monde l'ait, et nous l'avons forcé sur vous. Un peu comme un parent qui voit que son enfant s'en va prendre une route qui va mener à sa perdition. Parfois, quand l'enfant ne veut pas écouter, il faut savoir lâcher prise.
Je crois qu'on peut dire que l'Église du Québec a lâché prise. Il n'y a plus personne qui vous parle de damnation ni d'enfer dans les paroisses du Québec aujourd'hui. Au contraire, on a plutôt oublié que le péché existe encore même aujourd'hui. Ah, le mot péché... un mot politiquement incorrecte aujourd'hui.
Alors il est temps pour vous autres de grandir. Vous pouvez arrêter de faire l'adolescent maintenant. Vous pouvez arrêter de "faire votre frustré" qui voudrait soit oublier que Jésus Christ ait déjà existé ou bien "croire, mais à ma façon".
Quand on est Catholique, on est Catholique. On n'est pas "à moitié Catholique." Take it or leave it. La foi, ça vient avec les sacrements, les écritures saintes, la tradition laissé par tous ceux qui ont passé avant nous. La Foi Catholique, contrairement à ce que vous pensez, ce n'est pas une affaire personelle, mais une affaire communautaire. Si c'était une affaire personelle, ce serait toujours à recommencer, toujours à repartir à neuf avec chaque personne. On ne se rendrait pas loin tout seul en ignorant las sagesse de ceux qui ont passé avant nous. Les autochtones le comprennent mieux que nous, qu'ils soient catholique ou non, les ainés sont une richesse pour eux et la tradition passé d'une génération à l'autre aussi.
La beauté de la foi Catholique? Vous n'êtes pas obligés de vous y adhérer. Vous pouver faire ce que vous voulez. Le nombre de viols, divorces, enfants sans père, familles brisés, etc, va continuer à augmenter. Vive la révolution sexuelle! La violence dans les écoles et ailleurs aussi. Vive Hollywood! Vive la télévision comme gardien, alors que les parents ne prennent pas le temps d'être avec leurs enfants, dont ils ont plutôt tendence à voir comme un fardeau que comme une bénédiction. (Faudrait peut-être côtoyer les Africains alors). On ne vous dira plus de changer votre façon de faire. On a bien vu que votre culture est une culture de mort, même si vous ne voulez pas le voir. Un jour peut-être vous aller le reconnaître, ou au moins vos enfants, ou vos petits-enfants. Mais vous avez la liberté de l'ignorer et de faire ce qui bon vous semble.
Alors est-ce qu'on peut grandir un peu et reconnaître que l'Église Catholique a fait beaucoup de BIEN au Québec? Si ce n'était pas pour les écoles parroissiales ou dirigées par les religieuses, avant que le gouvernement s'en occupe, ou serait allé les enfants pour s'instruir? Ou seriez-vous allés pour vous soigner quand vous étiez malades, si ce n'était pas pour les hopitaux dirigés par les religieuses encore? Sans parler de communautés religieuses qui s'occupaient (et qui s'occupe encore) des pauvres. Non, mais l'Église, c'est un tyrant et on va fermer l'oeil à toutes les bonnes choses. On ne les voit pas. On ne voit que le mal que quelques individuels ont fait et le fait que l'Église ait essayé de le cacher. Je ne nie pas cela non plus, mais il faut regarder le grand image. Si on met le bien et le mal que des individus liés à l'Église ont fait sur la balance je crois bien que la balance serait nettement du côté du bien.
Malheureusement le genre humain n'est pas parfait et il y aura toujours des pécheurs partout. Il y aura toujours des erreurs fait de la part des dirigeants. Acceptez-vous que vos parents ne sont pas parfaits? Alors essayez d'accepter que les gens qui dirigent l'Église ne le sont peut-être pas non plus, mais que la plupart font de leur mieux.
À quoi cela sert de demander pardon "pour tout ce mal" dans les mots du cardinal Ouellet, quand la société québecoise en général ne semble pas être assez mature encore pour accepter et pardonner?
Bien sur, le fait qu'une personne que je côtoie à tous les jours pense exactement comme Patrick Lagacé de LaPresse me brouille peut-être les idées un peu. Peut-être y a-t-il moins qui pensent ainsi que j'en ai l'impression?
Patrick Lagacé écrit:
Derrière le théâtral «Pardon pour tout ce mal!», celui qui va prendre toute la place dans le kodak, aujourd'hui, il y a aussi un mot, le mot «droit», employé de façon hérétique par le cardinal Ouellet. La phrase hérétique: «C'est pourquoi je réitère l'appui aux parents qui ont droit à ce que leurs enfants reçoivent à l'école un enseignement religieux qui corresponde à leurs convictions...»...
Je n'ai rien contre Jésus. La légende dit qu'il a été un bon gars. Sauf que les Québécois ont décidé que Jésus et les autres prophètes n'avaient pas leur place à l'école. Et quand les commissions scolaires ont été laïcisées, personne n'a protesté. En fait, si mon souvenir est bon, les Québécois ont davantage protesté quand le format BETÀ a été abandonné au profit du VHS, dans les cassettes vidéo...Non, mais écoutez-vous parler!!
C'est ici que l'arrogance de Mgr Ouellet s'affiche, dans toute sa miséricordieuse hypocrisie. Dans cette tentative de ramener Jésus dans les écoles, par la porte d'en arrière. En nous disant qu'il ne veut pas retourner à 1950. Alors qu'il milite pour 1953...
La lettre du cardinal Marc Ouellet, représente seulement un grain de sable dans le sablier des horreurs de l’église catholique au Québec. Grâce à leur bon soin, le Québec à due mettre les bouchées double pour rattraper le retard économique, social et culturelle engendré et imposer par l’archevêché de l’église chato.. du Québec (la grande noirceur). (Alain Lacasse - extrait de commentaires sur l'article de M. Lagacé)Les horreurs de l'Église Catholique!! Savez-vous, je suis plus que tannée d'entendre parler de l'Église Catholique comme l'institution de domination. Oh oui, vous avez été tellement persécutés par l'Église. On vous a enlevé vos enfants. On vous a torturé. On vous a assassiné. On a volé vos biens. On vous a empêché de travailler. On vous a empêché de soigner vos malades. Vous avez été vraiment mal-traités. S'il vous plaît, n'exagérons pas.
Je vois le problème ici. C'est un problème d'idéologie. Vous ne voulez pas suivre l'enseignement de l'Église. Vous trouvez que l'Église "casse votre fun". Un peu comme le parent qui empêche l'adolescent de tout faire ce qu'il veut. Et l'adolescent réagit en traitant le parent de tyrant.
Mais un jour l'adolescent doit grandir. Il doit reconnaître que si le parent n'était pas parfait, et que s'il a fait des erreurs, il n'est pas vrai qu'il est un tyrant. On peut grandir et avoir une opinion différent de ses parents, mais on reconnait que ses parents ne sont pas des gens horribles pour autant.
Je vais avouer que peut-être l'Église du Québec a été un peu contrôleuse. Je n'en sais rien, je n'étais pas là, et l'histoire du restant du Canada (ainsi que le restant du monde) avec l'Église est bien différente de celle du Québec. L'Église n'avait certainement pas le même "pouvoir" ailleurs. Permettez-moi de l'appeller autrement. Je dirais plutôt le même niveau d'infiltration dans la culture. Le Québec avait jadis une culture très catholique. Ce n'est pas une chose horrible. Aussi impossible que cela puisse sembler aujourd'hui, la plupart des gens avaient une foi réelle, et cela influençait beaucoup la culture. Il y en a d'autres qui ont ou qui ont eu une culture catholique aussi, les polonais par exemple le français, les espagnols et les italiens.
Aujourd'hui vous avez pitié des vos pauvres ancêtres obligés de participer à mille et une sacrifices par crainte de damnation. Je crois que si vous iriez en arrière quelques centaines d'années, vous trouverez peut-être plutôt que leur foi était un peu plus profonde que cela. Vous n'avez pas à retourner quelques siècles en arrière... aller plutôt côtoyer les jeunes de Marie-Jeunesse ou Défi-jeunesse ou les familles de la Famille des Puits de Lumière ou encore Myriam Bethéhem quelques mois pour voir. Vous ne connaissez rien de la foi et c'est pour cela que vous ne voyez L'Église que comme une insitution qui veut tout contrôler. En fait, quand vous parlez de l'Église vous ne parlez même pas de la foi. Vous ne parlez que de l'insitution. Pour vous, l'Église n'est qu'une institution. Qui a peut-être inventé une religion pour pouvoir contrôler tout le monde.
Bizzare de façon de contrôler tout le monde ça, que de proner une moralité sexuelle, de défendre les pauvres, les innocents (bébés avortés etc), le mariage et la famille. D'habitude, ceux qui veulent le pouvoir pour le pouvoir ont plutôt tendance à assassiner, voler, piller, violer et enlever les droits fondamentaux des êtres humains.
Ah mais là, peut-être qu'en voyant que nous avions une bonne chose, nous avons trop voulu que tout le monde l'ait, et nous l'avons forcé sur vous. Un peu comme un parent qui voit que son enfant s'en va prendre une route qui va mener à sa perdition. Parfois, quand l'enfant ne veut pas écouter, il faut savoir lâcher prise.
Je crois qu'on peut dire que l'Église du Québec a lâché prise. Il n'y a plus personne qui vous parle de damnation ni d'enfer dans les paroisses du Québec aujourd'hui. Au contraire, on a plutôt oublié que le péché existe encore même aujourd'hui. Ah, le mot péché... un mot politiquement incorrecte aujourd'hui.
Alors il est temps pour vous autres de grandir. Vous pouvez arrêter de faire l'adolescent maintenant. Vous pouvez arrêter de "faire votre frustré" qui voudrait soit oublier que Jésus Christ ait déjà existé ou bien "croire, mais à ma façon".
Quand on est Catholique, on est Catholique. On n'est pas "à moitié Catholique." Take it or leave it. La foi, ça vient avec les sacrements, les écritures saintes, la tradition laissé par tous ceux qui ont passé avant nous. La Foi Catholique, contrairement à ce que vous pensez, ce n'est pas une affaire personelle, mais une affaire communautaire. Si c'était une affaire personelle, ce serait toujours à recommencer, toujours à repartir à neuf avec chaque personne. On ne se rendrait pas loin tout seul en ignorant las sagesse de ceux qui ont passé avant nous. Les autochtones le comprennent mieux que nous, qu'ils soient catholique ou non, les ainés sont une richesse pour eux et la tradition passé d'une génération à l'autre aussi.
La beauté de la foi Catholique? Vous n'êtes pas obligés de vous y adhérer. Vous pouver faire ce que vous voulez. Le nombre de viols, divorces, enfants sans père, familles brisés, etc, va continuer à augmenter. Vive la révolution sexuelle! La violence dans les écoles et ailleurs aussi. Vive Hollywood! Vive la télévision comme gardien, alors que les parents ne prennent pas le temps d'être avec leurs enfants, dont ils ont plutôt tendence à voir comme un fardeau que comme une bénédiction. (Faudrait peut-être côtoyer les Africains alors). On ne vous dira plus de changer votre façon de faire. On a bien vu que votre culture est une culture de mort, même si vous ne voulez pas le voir. Un jour peut-être vous aller le reconnaître, ou au moins vos enfants, ou vos petits-enfants. Mais vous avez la liberté de l'ignorer et de faire ce qui bon vous semble.
Alors est-ce qu'on peut grandir un peu et reconnaître que l'Église Catholique a fait beaucoup de BIEN au Québec? Si ce n'était pas pour les écoles parroissiales ou dirigées par les religieuses, avant que le gouvernement s'en occupe, ou serait allé les enfants pour s'instruir? Ou seriez-vous allés pour vous soigner quand vous étiez malades, si ce n'était pas pour les hopitaux dirigés par les religieuses encore? Sans parler de communautés religieuses qui s'occupaient (et qui s'occupe encore) des pauvres. Non, mais l'Église, c'est un tyrant et on va fermer l'oeil à toutes les bonnes choses. On ne les voit pas. On ne voit que le mal que quelques individuels ont fait et le fait que l'Église ait essayé de le cacher. Je ne nie pas cela non plus, mais il faut regarder le grand image. Si on met le bien et le mal que des individus liés à l'Église ont fait sur la balance je crois bien que la balance serait nettement du côté du bien.
Malheureusement le genre humain n'est pas parfait et il y aura toujours des pécheurs partout. Il y aura toujours des erreurs fait de la part des dirigeants. Acceptez-vous que vos parents ne sont pas parfaits? Alors essayez d'accepter que les gens qui dirigent l'Église ne le sont peut-être pas non plus, mais que la plupart font de leur mieux.
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